Le siphon mortifère du mensonge « catholique » (= universel, sens étymologique toujours d’actualité)… « est érigé à la perfection et tient en deux phrases : la parole de dieu est enseignée par l’Église et l’Église est voulue par le Christ. »
La foule se rassure à bon compte sur son éternité, au prix d’une in-croyable et quasi inimaginable dictature, à la fois mentale, politique et morale : une emprise diabolique sur les êtres humains, appuyée, cautionnée et légitimée par une longue liste de politiques et de chefs d’État véreux !…
Heureusement, chaque jour maintenant, de nouveaux esprits libres et concernés par l’évolution de l’Humanité, abandonnent ces organisations malfaisantes, ces « escroqueries en bande organisées », ces mafias redoutables qui s’érigent en empire du mal sur l’innocence (au propre et au figuré).
"DEVIENS CE QUE TU ES." (Pindare)
Au nom de l’Amour
Les croyants ont toujours été de mauvaise foi. Niant les abus de leur religion, jusqu’à ce que le déni ne soit plus possible. Ainsi, de leur propre chef, ils ont perpétué ce qu’ils dénoncent après tous les autres. Ainsi fonctionne le pouvoir des religieux sur les foules. Le pouvoir se reconstitue, réforme l’insoutenable et les fidèles continuent à se soumettre, à croire au changement.
Mais, comment changer ce qui est perverti à la racine ? Le pouvoir distille sa pensée unique, vous enjoint au nom de son dieu, à renoncer à votre liberté de conscience. Votre vie ne vous appartient plus. Pourtant, malgré l’histoire, ils se pensent en liberté, oublient les crimes commis au nom de leur croyance. De réforme en réforme, le passé retombe dans l’oubli. Comment le comprendre, si l’on accepte d’ôter le masque de la foi?
Comment a-t-on pu oublier le massacre de…
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